Rayons : Sciences humaines & sociales > Philosophie > Philosophie moderne
Auteur(s)
André Comte-Sponville, Luc Ferry
Éditeur
Robert Laffont
Distributeur
Date de parution
05/05/2022
Collection
Arion
EAN
9782221262917
Disponibilité
Disponible
Nombre de pages
576 Pages
Longueur
178 cm
Largeur
109 cm
Épaisseur
3.1 cm
Poids
280 g
Support principal
Poche
Philosophe et enseignant français, né en 1952, André Comte-Sponville est l'auteur de nombreux ouvrages qui, par leur clarté et leur pédagogie, mettent la philosophie à la portée de tous. Philosophe humaniste, il a remis la recherche de la sagesse au goût du jour et a écrit sur beaucoup des thèmes classiques traités par les philosophes antiques ou des siècles passés, y compris sur la philosophie politique. Dans la "Sagesse des modernes", ouvrage co-signé avec Luc Ferry, les deux philosophes confrontent leurs visions respectives sur des thèmes fondamentaux comme la quête de sens, la liberté, la sagesse... André Comte-Sponville a eu la foi jusqu'à 18 ans : "L'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit". Il se définit comme un athée fidèle car il se reconnaît dans une certaine tradition et histoire des valeurs gréco-judéo-chrétiennes. Il pense que l'homme peut se passer de religion, la philosophie en étant l'un des moyens.
Agrégé de philosophie et de sciences politiques, docteur d'Etat en sciences politiques, Luc Ferry mène d'abord une carrière d'enseignant et de philosophe. Entre 1984 et 1985, il publie les trois tomes de sa 'Philosophie politique', dont il écrit le dernier avec Alain Renaut. Cette collaboration se poursuit notamment avec, 'La pensée 68 - Essai sur l'antihumanisme' et 'Système et critique' en 1985, et avec 'Heidegger et les modernes', en 1988. En 1992 paraît 'Le nouvel ordre écologique - l'arbre, l'animal et l'homme', traduit en plus de quinze langues, qui lui vaut le prix Médicis essais ainsi que le prix Jean-Jacques Rousseau. Intellectuel très médiatisé, il mène en parallèle une carrière politique discrète avant d'entrer au gouvernement en mai 2002, à cinquante et un ans, en tant que ministre de la Jeunesse, de l'Education et de la Recherche. Il préside en effet depuis 1994 le Conseil national des programmes et participe en 1997 à la commission présidée par Pierre Truche pour la réforme de la justice. Après la refonte ministérielle de mars 2004, lors de laquelle il quitte ses fonctions, il est nommé président délégué du conseil d'analyse de la société (CAS) et entre au Conseil économique et social.