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31 produits trouvés
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Le chat, le boulanger, la grand-mère, un marin, une pierre, un canard, d'autres encore et, en fin d'album, la maman : tous apportent leur propre réponse à cette grande question que l'on devine.
Qui la pose? un enfant, probablement. chacun, en grandissant, trouvera de nouvelles réponses.
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Les chatouilles
Christian Bruel, Anne Bozellec
- Etre
- A L'envers Des Feuilles
- 19 Juin 1998
- 9782844070012
Sur la pointe des pieds, une petite fille vient réveiller son frère... en le chatouillant !
Débute alors une formidable bataille de guilis : des oreilles aux doigts de pieds, tout se chatouille ! Même le chat se laisse entraîner dans cette folle mêlée qui met tout sens dessus dessous. Un album au trait noir et blanc sans texte, qui laisse pourtant entendre des rires, des cris et de l'amour aussi.
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Certes, chonchon aime réfléchir.
Mais quand un autre chonchon, puis deux et bientôt sept nounours semblables s'invitent dans l'histoire, un doute l'envahit :
" qui est le vrai chonchon ? " se demande chonchon.
Identité, différences, tendresse.
Une légère variation du papier de couverture donne à chaque exemplaire la singularité de chonchon : il est unique au monde.
Comme vous et moi.
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Le monde est immense et les jours sont si courts qu'il faut aussi pouvoir compter sur les livres et les bisous pour grandir !.
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L'atelier des papillons
Gioconda Belli, Wolf Erlbruch
- Etre
- Grande Collection
- 5 Avril 2003
- 9782844070319
Un groupe d'artistes est chargé de créer le monde par une divinité, bienveillante et féminine. Craignant les outrances des plus turbulents, elle leur réserve la création des insectes. Rodolphe, l'un des créateurs, rêve de s'émanciper des quelques préceptes qui régissent l'apparition des nouveautés vivantes.
Malgré le scepticisme ambiant, il invente le papillon...
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Sam et Geneviève s'aiment tendrement. Le bonheur du couple serait parfait si Geneviève était moins petite, pense-t-elle. Et s'il faisait beau comme à Hawaï
soupire le grand Sam. Et voilà qu'un matin, Geneviève est immense et Sam tout petit. "Ce n'est pas du tout ce que je voulais", se dit Geneviève tandis qu'elle cherche à rejoindre Sam sûrement en route pour Hawaï... En fait, elle l'emporte dans sa valise ! Et ils s'aimeront toujours. À Hawaï ou ailleurs. Et quelle que soit la taille variable de chacun. Un album magnifique, tant dans sa forme que dans son propos.
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Pour de rire
Christian Bruel, Nicole Claveloux
- Etre
- A L'envers Des Feuilles
- 24 Novembre 2005
- 9782844070494
Une fête foraine, la nuit, après la fermeture. Six petits clowns, guère rassurés, veulent se prouver qu'ils sont capables de traverser le train fantôme. Peur du noir, des monstres, de la solitude, des petites et grosses bêtes, du vertige... Les costumes permettent d'identifier et de suivre tour à tour chacun des personnages dont les réactions varient au fil des épreuves :
l'un sera courageux sur une page, terrorisé sur la suivante, puis imperturbable, etc. Au terme du parcours, ils sortent, rassérénés et fiers tandis que six nouveaux entrent à leur tour pour le plaisir d'avoir un peu peur... pour de faux !
Nouvelle édition, en couleur cette fois, d'un célèbre album publié en 1981
aux éditions Le Sourire qui mord.
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Comptines, formulettes, rengaines... Depuis toujours, de bouche à oreille, les cours de récréation bruissent d'impertinences. Sans prétendre à la moindre exhaustivité, en prenant appui sur le répertoire de nos proches, petits et grands, nous avons rassemblé quelques-unes de ces pièces pour entretenir et partager une jubilation patrimoniale. Quelques comptines nous ont semblé devoir rester, par destination, bien au chaud dans l'oralité enfantine et rebelle. Quant aux variantes, elles sont innombrables : les unes anodines, les autres très salées... Bref, nous avons dû choisir. D'autres volumes suivront peut-être... si les petits cochons ne nous mangent pas.
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Ce que mangent les maîtresses
Christian Bruel, Anne Bozellec
- Etre
- A L'envers Des Feuilles
- 21 Avril 1998
- 9782844070029
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Konrad, un renard affamé, va engloutir un oeuf quand celui-ci donne naissance à un petit canard qui, aussitôt, l'appelle " papa ! ".
Le renard élève, bon gré mal gré, ce caneton qu'il nomme lorentz, bien décidé à le dévorer quand il sera plus gras. lorentz qui a grandi s'éprend d'emma, une belle cane dodue. " de mieux en mieux ", se pourlèche le renard. sans se soucier du trouble qui le gagne peu à peu.
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Super gloupi
Edward Van de Vendel, Fleur Van der weel
- Etre
- Grande Collection
- 27 Octobre 2004
- 9782844070432
Super Gloupi est une suite de 52 mini-textes illustrés. Fulgurantes, drôles et tendres visions de l'existence. Un petit chien noir en marinière (l'auteur oe) saute dans les flaques et nous avons les pieds mouillés. C'est la mer qui vient lire ce que ton doigt a écrit sur le sable. Mais elle ne répond pas au
courrier. Et comment ne pas s'étonner quand mon dernier poisson rouge ne nage pas avec les autres dans le ventre du chat. Finalement, il est là. Et c'est ce qui compte !
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Comptines, formulettes, rengaines... Depuis toujours, de bouche à oreille, les cours de récréation bruissent d'impertinences. Sans prétendre à la moindre exhaustivité, en prenant appui sur le répertoire de nos proches, petits et grands, nous avons rassemblé quelques-unes de ces pièces pour entretenir et partager une jubilation patrimoniale. Quelques comptines nous ont semblé devoir rester, par destination, bien au chaud dans l'oralité enfantine et rebelle. Quant aux variantes, elles sont innombrables : les unes anodines, les autres très salées... Bref, nous avons dû choisir. D'autres volumes suivront peut-être... si les petits cochons ne nous mangent pas.
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En page de droite, sur des fonds de beaux tissus imprimés, des vignettes en couleur représentent des animaux. En regard, sous le nom de chaque animal, les textes oscillent entre une simple ligne et plusieurs paragraphes. Faussement naturalistes, jouant sur les mots, ils renseignent, émeuvent, donnent à penser : le lion serait d'autant plus majestueux qu'il ignore sa royauté, le saumon voit la vie intérieure en rose, le vieux renard n'est plus qu'usé (une lettre s'en est allée), la vache regarde passer les siens, etc. Quant au mammouth, il se conserve bien dans la glace grâce à son épaisse toison.
Si Nabokov dans Littératures 1 distingue entre le loup au coin du bois et le loup au coin d'une page, les Animaux trouvés au coin d'une page se jouent de cet écart avec élégance, pour le plus grand plaisir des amis des hommes.
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Léonard est un jeune garçon terrorisé par les chiens, grands et petits. Il obtient d'une fée d'être transformé en un gros chien affectueux. Ses parents, certes un peu surpris de l'échange, accueillent cependant l'animal avec joie. Mais voilà que le chien se jette à leur cou, terrorisé, dès qu'il aperçoit un enfant !
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Il faut lire et relire le Peter Pan de J.M. Barrie, un livre à mille lieues de la niaise version de Disney. Le texte est vif, ironique, caustique parfois. On découvre une Wendy féministe, un Peter peu assuré, pathétique à force de se vouloir gai, innocent et sans coeur. Et on saura enfin pourquoi les hirondelles nichent
sous le toit, au-dessus des fenêtres entrouvertes : c'est pour puiser dans les histoires racontées aux enfants, le soir au bord du lit, la force nécessaire à leurs grandes migrations.
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Croiser les indices recueillis page après page entre les textes et les images de ce livre-énigme, permet de trouver l'âge du capitaine.
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Illustrées « au pied de la lettre » avec le talent de Jens Bonnke, des expressions comme « avoir la chair de poule », « tomber sur un os » ou « se coucher avec les poules » prennent une saveur nouvelle. Et cette saveur se double d'exotisme et de bizarrerie pour les expressions traduites de l'allemand, telles « pleurer avec les loups », « avoir un ours sur le dos », « oiseau penché » ou « chien tordu » ! Sur chaque double, une expression et son bref commentaire figurent à gauche sur un fond de couleur avec, tête-bêche en pied, l'équivalent en allemand, la page de droite proposant l'image.
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Dans cette maison ? Là, sous la lune ? Chez Zoug et Gnou ? Non ! Avec nous !
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Le jour de la lessive
Christian Bruel, Anne Bozellec
- Etre
- A L'envers Des Feuilles
- 25 Avril 2008
- 9782844070654
Maman étend le linge sur un fil, au grand air, face à un paysage montagneux. Elle ne sait pas que son petit garçon, passé de l'autre côté du drap qu'elle suspend, connaît des aventures ébouriffantes en cheminant à rebours le long du fil. Contre toute attente, linge et décors ont changé ! Le bambin passe d'un univers à l'autre, rencontrant des lutins, des chevaliers, un robot, des animaux sauvages ainsi qu'une tribu amazonienne. Seul un ultime monstre préhistorique inquiétera le petit héros juste avant qu'il ne retrouve le drap et la maman seulement passée d'une épingle à l'autre... Une rêverie ? Peut-être pas si l'on remarque un élément nouveau : un bracelet amazonien orne l'un des poignets du petit garçon.
Ce livre sans texte, aux pages intérieures en noir et blanc, grand succès du Sourire qui mord, n'a pas pris une ride.
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- Émilie ?
- oui ?
- personne ne disparaît, pas vrai ?
Je fais non de la tête.
- pas toi, je dis
- et toi ?
- je suis là
- sûr ?
- sûr comme une bouteille thermos
Ainsi commence cet album à part et très précieux. Qui parle ?
Une petite fille, Emilie, et son petit canard. Nous sommes le 23 décembre. Emilie et le caneton sont seuls. Les parents sont partis… le lecteur ne saura jamais pourquoi. Le petit canard ne se remet pas de cette absence et pose d’incessantes questions : pourquoi ? qu’est-ce qu’on a fait ? qu’est-ce qu’on va devenir ? qu’est-ce qu’on fait ? qui est-on ? Emilie tente de le rassurer, mais rien n’y fait, le petit canard pleure. Le lendemain, jour de Noël, le petit canard est toujours inconsolable. Emilie tente de faire diversion. « On va dessiner, dit-elle ». Le résultat est un sapin, avec deux mots en guise de décoration : maman, papa. La singularité de ce premier livre tient au parti pris littéraire : prendre à bras-le-corps l’angoisse révélée par l’absence des parents. Mieux, l’auteure en transfère la charge grâce au personnage du caneton qu’il faut tenter de rassurer. Emile Christensen a choisi de ne rien expliquer. Tout juste suggère-t-elle et ces motifs en filigrane sauvent le livre de tout pathos. Le récit évolue sur un fil ténu entre sourire et larmes, le tragique et la mélancolie flirtant avec le réconfort. Le petit canard et moi (Noël) est avant tout une histoire d’étayage. La forme même du livre est originale : des bribes de textes épars, une ponctuation minimale, aucune majuscule, de rares images faussement maladroites... Un petit bijou.
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Dans cette suite (autonome) de l'album Le petit canard et moi (Noël), on retrouve le caneton et Émilie, mais le ton a changé. La colère prend le pas sur la mélancolie. Papa n'est pas là, se plaignent nos deux jeunes héros bien décidés,
non seulement à partir à sa recherche, mais à lui dire ses quatre vérités. Ce second opus surprend à double titre. Sur le fond, d'abord : si la solitude générée par l'absence est omniprésente, Émilie et le petit canard agissent désormais, ils prennent leur destin en main. Sur la forme, ensuite : le rapport texte/image est plus prégnant, tel ce marquage de sécurité routière au sol qui montre un homme tenant un enfant par la main. Radical, rageur, vengeur... dans une reprise du marquage en fin d'ouvrage, l'adulte est barré par l'ombre d'un réverbère. « Il a été écrasé » avance le petit canard. En l'absence des grands, il faut vivre.
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