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Histoire du monde
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Pornic au coeur d'un littoral preserve. au bonheur des peintres
Viot J E G.
- Livre D'Histoire
- 30 Juin 2022
- 9782758610922
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La Ferté-Bernard et ses environs
Léopold Charles
- Livre D'Histoire
- Monographies Des Villes Et Villages De France
- 1 Décembre 2004
- 9782877607018
Le présent ouvrage nous invite à redécouvrir le passé riche de La Ferté-Bernard et de ses environs : l'histoire des sires de La Ferté, l'étude du canton et de ses personnages illustres, la description des maisons anciennes.
Léopold Charles évoque le passé féodal de La Ferté-Bernard. Nous apprenons comment Avesgaud, fils et frère des deux premiers seigneurs de Bellême, obtint en apanage à la fin du Xe siècle le Fertois, qu'il fit ainsi dépendre du Perche. Dès la fin du Xle siècle, la Ferté-Bernard a ses barons, écuyers, chevaliers disséminés dans des bourgs, postés dans des petits castels.
L'auteur cite les familles les plus anciennes du canton de la Ferté : les Le Boindre, qui ont occupé pendant plus de cent ans le siège de conseiller au présidial du Mans, la famille Les Heullant qui occupe le poste de procureur du Maine.
L. Charles décrit les vieilles maisons du bourg. L'une d'elles, située dans la rue d'Huine, passe pour avoir servi de demeure à un gouverneur de la ville. Le premier nom fourni par les comptes de la fabrique est celui de Hicrosme Gouin, maître maçon, conducteur de l'oeuvre de l'église.
Riche d'informations, de précieux détails, cet ouvrage constitue un passionnant témoignage pour tous les amateurs d'histoire locale.
© Micberth -
Le Lude : son château, son histoire
J.-B. Candé
- Livre D'Histoire
- Monographies Des Villes Et Villages De France
- 1 Décembre 2004
- 9782841780037
Fondé à l'intersection de deux voies romaines, le Lude devint au Moyen Age un lieu convoité et âprement disputé par les partis ennemis. Le docteur J.-B. Candé nous invite à suivre les étapes marquantes de l'histoire du Lude, du château et de ceux qui le possédèrent sous l'Ancien Régime. Il retrace le lent développement du bourg, dont l'importance était signalée au VIIe siècle : on y trouvait alors un atelier monétaire. Les nombreuses invasions subies par les habitants encouragèrent la formation de souterrains creusés dans le tuffeau, vestiges de ces époques violentes. Nous redécouvrons l'illustre famille de Foulques Ier, premier seigneur du Lude, et son arrière petit-fils, le célèbre Foulques Nerra, qui y fut assiégé par les troupes d'Alain de Bretagne et de Herbert Eveille- Chien, en 1027. J.-B. Candé relate les faits saillants tel l'affrontement entre Du Guesclin et Thomas Grandson, à la fin de 1370. Par la suite, une partie des troupes anglaises occupa la ville du Lude et tenta par deux fois de prendre le château. Nous apprenons que le bourg et la forteresse furent occupés de 1425 à 1427. Ambroise de Loré, célèbre capitaine qui venait de reprendre Malicome aux Anglais, fut chargé de trouver une stratégie pour rendre Le Lude à ses possesseurs.
Passionné par la découverte de la vérité historique, J.-B. Candé réussit à nous faire revivre les grandes heures de l'histoire médiévale du Lude. Un document indispensable pour tous les amateurs d'histoire locale.
© Micberth -
Les chauffeurs du Lyonnais
Joseph Vingtrinier
- Livre D'Histoire
- Monographies Des Villes Et Villages De France
- 1 Décembre 2004
- 9782843731280
Ce qui nous frappe aujourd'hui encore, dans l'histoire des chauffeurs du Lyonnais, ce n'est pas le déchaînement de violence qui la caractérise, mais surtout l'incroyable témérité des malandrins, leur cruauté absolue, l'habileté parfois machiavélique de leurs forfaits et cette impunité totale dont ils jouirent pendant si longtemps. En lisant l'ouvrage de J. Vingtrinier, on comprend assez vite que tout cela, ils le devaient à leur chef, un homme qui avait (hélas) pour le crime, des aptitudes exceptionnelles : fin stratège, dépourvu de tout scrupule, vigoureux et déterminé, il imposait à ses troupes une discipline de fer. Pour tout le monde (ou presque), il s'appelait Pierre Grataloup, il n'était « pas très grand, mais bien pris et de forte carrure », il habitait la haute montagne et faisait « le commerce des bestiaux » ; mais pour tous ses complices, pour ceux qui le recherchaient et pour les habitants de la région, il était aussi le Petit-Monsieur, personnage mythique, redouté et d'autant plus insaisissable, qu'hormis ses hommes personne n'avait fait le lien entre l'honorable Grataloup et le terrible chef de bande, au point qu'il filait le parfait amour avec la belle Françoise, la fille d'un fermier prospère. C'est pourtant lui qui organise de véritables conseils de guerre dans les ruines du château de Rochefort, ordonne le pillage et la tuerie de Malataverne, le sac, sous uniformes de gendarmes, du château de Marigny, l'enlèvement de Mlle de Barmas, l'attaque de la maison de Jean Malart... et cent autres coups fructueux et sanglants qui terrorisent la population et constituent autant d'atteintes graves aux personnes et aux biens.
Cependant l'intérêt du récit de M. Vingtrinier ne réside pas uniquement dans cette relation pittoresque (historiquement répertoriée) des coups de main, rapts, assassinats, combats divers des Dur-à-cuire, Vide-Gousset, José-le-Chameau, Pied-de-Biche, Lapin-Vigilant, Gros-Mec, Sautemouche, Cuillère-à-Pot, le Parigot, le Dauphinois, Dhilas, Chevallier, le Borgne-d'Aveize, le Bourreau des Crânes, le Boucher-des-Pantes. Il apparaît aussi dans la manière précise et vivante dont l'auteur évoque l'ambiance des marchés de l'époque, des fermes et des auberges, dans le talent avec lequel il retraduit le langage cru et coloré des chauffeurs et des paysans et dans la gradation savante selon laquelle il montre l'évolution du comportement de la population, qui va passer, peu à peu de la crainte à la colère vengeresse, sous l'influence de Jean Malart, l'ennemi juré du Petit Monsieur. Cette épopée, judiciaire et justicière, d'une lutte devenue collective contre le crime est d'autant plus passionnante qu'elle est marquée du sceau de l'authenticité.
© Micberth -
Histoire de Brive-la-Gaillarde et de ses environs
Abbé Leymonerie
- Livre D'Histoire
- Monographies Des Villes Et Villages De France
- 21 Avril 2017
- 9782758609773
La ville de Brive existait longtemps avant la nation proprement dite des Gaulois. L'ancien pont qui enjambait la Corrèze dans ces temps reculés était d'une si grande importance qu'il facilita son établissement et lui fit donner le nom de Briva Curretia, « Pont sur la Corrèze ». Son heureuse position sur une petite éminence entourée de ruisseaux, au centre d'une plaine agréable et sur la route de communication du nord au midi de la France, attira les premiers habitants. Grégoire, évêque de Tours au VIe siècle, fut le premier écrivain qui parla de Brive. La basilique de Saint- Martin, réédifiée à la suite des exactions des troupes du cruel Boson qui voulut sans doute châtier les habitants d'avoir prêté serment de fidélité au roi Gondebaud, et la dévotion envers ce martyr, donnèrent du lustre à la petite ville et attirèrent de nombreux fidèles des pays voisins. Au VIIIe siècle commencèrent les guerres et les débats permanents des barons de Malemort et les vicomtes de Turenne contre Brive qui dut se défendre des entreprises continuelles de leur ambition et fournir des efforts héroïques pour maintenir son indépendance. En 1130, la ville avait déjà obtenu son érection en commune grâce à Louis le Jeune. Occupée par les Anglais, puis reprise de force par le duc de Bourbon, la cité comprenait 624 maisons principales sujettes aux impositions, en 1374. Ville frontière du Périgord envahi par l'ennemi, elle était alors la seule place bien fortifiée du canton et trouvait ses ressources dans le commerce et le droit de barrage, augmentées par les voisins qui venaient souvent y mettre en sûreté leurs effets les plus précieux. En 1453, trois sortes de taille étaient levées : une pour le roi, une pour les gendarmes et une pour les besoins de la commune, y compris l'entretien de quatre francs-archers. Les gardes qui bloquaient les portes pour empêcher toute communication avec les pestiférés errants ou domiciliés dans le voisinage, permirent à la cité de souffrir un peu moins que Tulle d'une terrible épidémie. Les terres étaient si nombreuses à défricher et les bras étaient devenus si rares après plus de cent ans de guerre et les ravages de la peste, que les seigneurs furent forcés de céder leurs parcelles à des conditions fort inférieures à celles des anciennes reconnaissances, se bornant à ne retenir que le huitième des fruits au lieu de la moitié qu'ils se réservaient auparavant. Durant les guerres de Religion, les huguenots occupèrent plusieurs châteaux dans le voisinage de Brive. Le fort de Voutezac fut repris par un détachement commandé par le consul Maillard. La garnison réduite à trente-cinq hommes se rendit ; trentequatre furent fusillés et le fort fut rasé.
© Micberth -
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La sorcellerie à Toul aux XVIe et XVIIe siècles : étude historique
Albert Denis
- Livre D'Histoire
- 11 Mars 2019
- 9782758610441
Fac-similé de l'édition parue en 1888
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Gétigne (monographie de) ou gétigne à travers les siècles
F Girard
- Livre D'Histoire
- 21 Décembre 2006
- 9782843739613
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Bailly-en-Cruye et ses anciens seigneurs : recherches historiques
Maquet Adrien
- Livre D'Histoire
- 2 Juin 2006
- 9782843738555
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Histoire du chateau et du bourg de blandy en brie
Taillandier A-H.
- Livre D'Histoire
- 28 Juin 2013
- 9782758607281
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La grande chartreuse ou tableau historique et descriptif de ce monastere
Albert Du Boys
- Livre D'Histoire
- 1 Décembre 2004
- 9782844351029