Filtrer
Rayons
- Littérature
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
Support
Éditeurs
Langues
Gallimard
-
Principes de la philosophie du droit
Georg Wilhelm Friedrich Hegel
- GALLIMARD
- Tel
- 11 Octobre 1989
- 9782070715312
Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831), a dit Alain, est "l'Aristote des temps modernes, le plus profond des penseurs et celui de tous qui a pesé le plus sur les destinées européennes". Les Principes de la philosophie du droit ont été publiés en 1821 à Berlin. Hegel "a voulu réconcilier, écrit Jean Hyppolite, la subjectivité chrétienne infinie avec l'idéal de la cité antique, selon lequel l'État est pour le citoyen le but final de son monde. Il a voulu maintenir au sein de l'État le libéralisme bourgeois tout en affirmant que l'État était au-dessus de la société civile... Ces oppositions, celle du christianisme et de l'État terrestre, celle de l'homme privé et du citoyen, du monde économique et de l'État politique, sont encore nos oppositions".
-
La métaphysique de l'idéalisme allemand
Martin Heidegger
- GALLIMARD
- Bibliotheque De Philosophie
- 22 Octobre 2015
- 9782070148363
Après le grand cours de 1936 sur le traité de Schelling de 1809, les Recherches philosophiques sur la liberté humaine, Heidegger remet en 1941 l'ouvrage sur le métier. Il propose ici une interprétation « renouvelée » du traité dans lequel il voit « le sommet de la métaphysique de l'idéalisme allemand », ou encore « le coeur de toute métaphysique de l'Occident ».
C'est dire que, loin de faire double emploi avec le cours de 1936 (dont la traduction française est parue en 1977 sous le titre Schelling), ce cours de 1941 reprend à nouveaux frais la problématique schellingienne en se focalisant sur la distinction entre fond et existence.
C'est aussi l'occasion, pour Heidegger, de démarquer la question de l'existence telle est posée dans Être et temps d'autres problématiques, celles de Kierkegaard et de Jaspers, en montrant que le livre de 1927 ne relève pas d'une « philosophie de l'existence » ni de l'« existentialisme », contrairement à une idée répandue.
Traduit de l'allemand par Pascal David