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Flammarion
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Principes de la philosophie du droit
Georg Wilhelm Friedrich Hegel
- Flammarion
- Gf ; Philosophie
- 13 Janvier 2021
- 9782080235510
Les Principes de la philosophie du droit figurent aujourd'hui parmi les grandes théories philosophiques de l'État. Hegel y établit une dialectique ascendante en laquelle il apparaît que le droit abstrait et la moralité ne trouvent leur vérité que dans la réconciliation entre la gestion des choses et des consciences, à savoir dans la réalité morale.Ils eurent en leur temps un extraordinaire succès, dont témoigne une lettre de Hinrichs à Hegel : «Les exemplaires envoyés aux libraires de Heidelberg étaient déjà épuisés le jour même, et il y a jusqu'ici tant d'exemplaires commandés chez eux que l'un d'eux a dit que c'était vraiment trop fort». Les comptes rendus furent nombreux ; les critiques aussi. Et cependant il aura fallu attendre la fin du XX? siècle pour que l'on mesure véritablement la richesse et la complexité de ce moment capital de la pensée politique : toute la sphère de l'activité humaine est couverte par la philosophie du droit.
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Plus de trente ans après Le Monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer propose une reprise dispersée mais fidèle des thèses de son oeuvre maîtresse avec Sur la religion et les Paralipomena (1851). En rapportant le coeur même de sa métaphysique à la doctrine de la transmigration des âmes, Schopenhauer prend position contre tout dogme religieux d'un commencement absolu du monde et contre celui de l'existence d'un dieu personnel. Il critique donc le judaïsme et le christianisme comme religions théistes, et c'est à la religion de l'Inde ancienne qu'il arrime définitivement sa théorie qui, comme elle, prône la soustraction au cycle des renaissances. Le bouddhisme, en particulier, représente pour Schopenhauer l'attestation la plus éclatante de sa métaphysique dans le champ religieux : il y rencontre une religion où chaque individu, à l'image du Bouddha, peut mettre un terme à l'affirmation de la volonté dans le monde, et atteindre par là à sa propre négation - le « nirvana ».
Ce texte, qui devait enfin apporter un relatif succès à son auteur, est l'un des dialogues fondateurs entre les pensées occidentale et orientale
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«Ce livre offre des instruments pour penser un siècle fertile en transformations imprévues, reconstruit les coordonnées de nos paysages mentaux et retrace les parcours au long desquels la philosophie rencontre les savoirs majeurs de notre temps. À saisir les idées en mouvement, on perçoit mieux les grandes articulations du discours philosophique, traité ici à partir des sources premières. Aux deux modèles les plus courants que sont l'exposition linéaire - qui présente des chapelets d'opinions reliées entre elles par le mince fil de la progression chronologique - et la description, en dehors de tout contexte, de systèmes miniaturisés et isolés (supposés posséder une existence autonome et atemporelle), nous avons donc préféré un mode narratif : la représentation de scènes théoriques compactes, divisées en tableaux conceptuels, où se croisent et s'entrecroisent les arguments d'acteurs résolus à éclaircir des problèmes qui sont aussi les nôtres.»