Quand sa professeur d'histoire lui demande de dessiner sa propre frise chronologique, Lucie se désole. Six dates importantes, six traits, voilà à quoi se résume sa petite vie.
L'auteur se souvient du voyage familial, effectué chaque été dans son enfance : les bagages entassés à Marseille, la nuit sur le pont du bateau, l'arrivée à Alger et le voyage jusqu'à Sétif...
Cette année, Léo est en CP. La classe des grands, celle où on apprend à lire et à écrire. Léo s'applique, se concentre, mais rien à faire : les lettres dansent devant ses yeux et les progrès tardent à venir. Heureusement, Maria l'animatrice du club de lecture le rassure : bientôt ses difficultés ne seront plus qu'un mauvais souvenir.
Dans ce roman, Elsa Solal rend hommage au courage des enfants et à la bienveillance de celles et ceux qui les accompagnent dans ces apprentissages fondamentaux.
« Mon père déteste la terre entière. C'est pour ça qu'on a eu un faux chien. » En effet, quoi de mieux qu'un chien imaginaire pour tenir à distance les voleurs et les voisins trop envahissants ?
Un texte aussi drôle que grinçant qui dénonce la méfiance et la crainte systématique de l'autre.
Mina est furieuse, Raphaël ne veut pas de son amour ! Alors quand il l'invite à son anniversaire elle est décidée à ravir son coeur. Le deuxième titre d'une mini-série signée Susie Morgenstern.
Le ballet des sentiments continue entre Mina et Raphaël. C'est la Saint-Valentin et le maître veut fêter ça. Le troisième et dernier titre d'une mini-série signée Susie Morgenstern, l'auteure incontournable de la littérature jeunesse.
Dans ce monde, on ne mange plus que de l'artificiel, les jardins ont disparu. Clovis et son père Marius vont planter clandestinement des tomates et retrouver un goût oublié.
Dans ce monde-là, on ne mange plus que de l'artificiel, les jardins ont disparu : il est interdit de cultiver, cueillir, récolter. Clovis et son père Marius font pousser en grand secret un plant de tomates. Une fois au moins, Clovis goûtera un produit frais, au goût de liberté...
C'est peut-être le dernier été qu'il passe avec Moune, sa belle-grand-mère, alors que sa mère et son beau-père se séparent. Personne ne le lui a dit, mais il a bien compris.
La voix claire et poétique d'un enfant qui raconte avec délicatesse l'amour familial, qui dépasse bien largement les liens de sang.
Dans cette belle et grande maison où elle a été envoyée pour prendre le bon air de la montagne, Daphné s'est déjà fait deux amis : Noé et Rébecca. Ensemble, près du petit bois voisin, ils ont découvert une cachette secrète, au toit de branches et au sol de mousse. Dans cet endroit, ils ont établi une règle. Ils s'y disent des secrets. De vrais secrets.
Mina a des critères très sélectifs pour se trouver un amoureux... Elle passe en revue les garçons de sa classe à qui elle pourrait offrir son coeur (une oeuvre d'art amoureusement dessinée qu'elle cache dans son cartable). Tous les garçons sont impitoyablement éliminés, sauf un, Raphaël, le nouveau. Oui mais Raphaël, il s'en fiche. Qu'importe, Mina attendra le temps qu'il faut.
Pour Nelson, c'est l'expédition, c'est la première fois qu'il quitte sa ville pour se rendre de l'autre côté de la rive, chez sa correspondante étrangère. Une surprise de taille l'attend, les habitants de Brick-City ont tous douze doigts et deux nombrils...
Un matin, Fernando trouve un poème par terre. Un poème triste et fatigué. Un peu comme lui. Mais quand Fernando décide de lire ce poème, une immense joie l'envahit. Alors Fernando veut partager ce poème, l'offrir, à tous ceux qui, comme lui, sans le savoir, en ont terriblement besoin.
Une ode aux pouvoirs de la poésie et à son universalité.
Sur les murs blancs de la chambre d'hôpital de Dylan est accroché un tableau de Claude Monet. Les Coquelicots. Ce décor qui l'intrigue et le fascine lui permet de s'évader, loin des chimios et des combats à mener. De quoi donner une bonne idée à son meilleur ami...
Cheveux rouges, vêtements bigarrés et voiture pétaradante, Ferdinand a souvent honte de sa grand-mère qui ne passe pas inaperçue. Mais ce jeudi, c'est manifestation, et Ferdinand découvre le vrai visage de celle qui lui donnera la force de mener ses propres combats.
Un garçon se réveille à bord de l'engin spatial où il a été cryogénisé 3789 ans plus tôt, lorsqu'il a quitté la planète-mère. Qu'est devenu son monde, sa famille, depuis tout ce temps ? L'alarme s'est déclenchée, est-ce que ça signifie qu'une planète refuge et habitable est enfin en vue ? Une Petite Poche de science-fiction qui évoque les prises de conscience écologique bien actuelles.
Il y avait dans un port de la Norvège un très vieil homme à qui manquait une oreille. « Comment l'as-tu perdue ?» lui demande-t-on souvent dans l'auberge où il vient s'enivrer. Et, chaque soir, le vieil homme raconte une version différente de sa mésaventure. Il a eu mille vies, il l'a perdue mille fois, son oreille, et dans des circonstances chaque soir plus périlleuses ! Une nuit, alors qu'il va mourir, son ami l'aubergiste le conjure de dire enfin la vérité. Et le vieux marin sourit : l'oreille, il ne l'a pas perdue, il est né sans.
Ce soir, Melchior essaie de choisir les bons mots pour raconter son histoire. C'est le sujet du travail qu'il doit rendre à l'école demain matin. Alors son père, Gaspar, lui vient en aide pour retracer, avec lui, le début de sa vie. Un destin inhabituel et magique. Car il est des familles qui ne ressemblent à aucune autre.
Valentin en est certain : il a vu une fée dans le salon de son père. Avec des ailes, des paillettes, et même une baguette magique ! Puisque personne ne le prend au sérieux, il va mener l'enquête et découvrir l'incroyable surprise que lui prépare son papa.
Quand Alma disparaît, son petit frère est surpris par la folle agitation qui s'empare de la maison. Il y a des cris, des pleurs, on oublie de l'emmener à l'école... Il sait que sa grande-soeur a eu un accident de parapente mortel, mais ces mots peinent à faire sens.
Une prouesse entre rire et larmes, bouleversante et résolument tournée vers la vie.
Depuis cette chambre d'hôtel, il revit les séjours passés ici, enfant, avec sa mère. Leurs promenades sur le rivage, son rire, sa longue robe alourdie par les flots, les lectures partagées... Les tendres souvenirs affluent, le temps de dire au revoir à celle qu'il a tant aimée.
Mika adore son Papi, son héros, son confident, toujours plein de blagues et de bonnes idées. Alors quand son grand-père jette sa petite chienne préférée à l'eau et qu'elle ressort en boitillant, Mika ne comprend pas. Comment son grand-père adoré a-t-il pu faire quelque chose d'aussi stupide ?
Belle leçon de grammaire sur l'impératif en classe, les exemples fusent, chacun en a, surtout Barnabé. Il a écrit une lettre d'amour à Pauline qui est tombée entre les mains du gros Dédé. Lâche cette enveloppe, ne l'ouvre pas, arrête :
Que de l'impératif. Et voilà que déboule Bob dans la classe, l'ex-amoureux de la maîtresse, une arme à la main : Aime-moi, pars avec moi, oublie ces morveux mal élevés, que d'injonctions ! Que d'ordres. Mais la classe ne se laisse pas faire...
Ou comment apprendre l'impératif à tous les temps en une seule leçon !
Cet été, chez grand-mère Jeanne, des choses étranges se produisent. Chaque nuit, Louis est réveillé par un souffle et bascule dans un autre monde. Il y a retrouve les rochers et la bruyère en fleur tant aimés, et cette petite fille, qu'il a l'impression d'avoir toujours connue.
Un récit fantastique envoûtant, sur fond de lande sauvage.
Petit Jean et Grand Gris travaillent toute la journée sous terre, ils sont mineurs. Grand Gris rêve de retrouver sa prairie et de galoper au soleil.