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La vie de saint François d'Assise selon Giotto
Claude-henri Rocquet
- L'Oeuvre
- 4 Novembre 2011
- 9782356311146
Avec cet album, nous poursuivons l'aventure commencée avec L'Agneau mystique R ouvrage unanimement salué R puis Jugement dernier.
Il s'agit cette fois d'évoquer la figure glorieuse de saint François d'Assise, au travers des incomparables fresques de Giotto. Claude- Henri Rocquet éclaire le personnage et innove la vision qu'on peut en avoir en nous faisant partager la profondeur de sa spiritualité telle qu'elle nous est offerte dans l'oeuvre de Giotto.
Saint François a inspiré les plus grands, de Giotto à Pasolini. De tous les saints, c'est celui qui, sans conteste, nous semble le plus sympathique, non seulement pour son choix radical de la pauvreté, mais aussi pour son rapport amoureux à la nature et aux animaux.
L'ouvrage est sans équivalent tant par sa facture que par la qualité des reproductions.
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Le désert est le lieu privilégié de la sainteté. Mais il fascine aussi l'homme d'aujourd'hui qui cherche à s'y ressourcer.
La beauté nue du désert nous hypnotise d'une manière qui n'est pas toujours facile à comprendre.
Déserts célestes amène le lecteur là où il n'a jamais été. Les photos inouïes de la surface des planètes, ces paysages rêvés qui nous rappellent pourtant ceux que nous connaissons sur Terre, produisent un effet fort et stimulent l'imagination.
Grâce à la technique de la Nasa et des Russes, grâce aussi aux milliers d'heures passées par Olivier de Goursac pour faire de ces images de véritables tableaux, le lecteur fera un voyage interplanétaire inoubliable.
Un voyage de poésie et de beauté qui prouve, une fois de plus, que la merveille de la Création est partout. Y compris à des millions de kilomètres de nous.
Un voyage à nul autre pareil.
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Dans ces 36 étincelles, un moine et un photographe, poètes tous les deux, alternent la parole et l'image pour prolonger la louange que la nature et ses cycles élèvent silencieusement à leur auteur. Tout au long des saisons, leur regard se pose sur les variations du ciel et de la terre. Un arbre dénudé, l'exubérance de l'été, l'infini de l'horizon : les mots du poète ne veulent pas doubler la beauté du monde, mais s'y ajuster, patiemment, amoureusement, pour la saisir au plus près de sa source.
