jean queval
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Meme les Orties Fleurissent
Harry Martinson
- Agone
- Manufacture De Proses
- 19 Octobre 2001
- 9782910846640
Premier volet d'une autobiographie, ce récit d'une enfance marquée par la pauvreté et la solitude témoigne de la conquête d'une dignité d'homme fidèle à son passé.
Ce récit se prolonge avec Il faut partir. -
« Voici déménagées des fables de La Fontaine », dit Queval. « Déménagées », en effet, transportées dans le temps et transposées en situations contemporaines, rhabillées de français actuel. Fort respectueux du bonhomme, qu'il admire au demeurant autant qu'à juste titre, Jean Queval a donc entrepris de lui rendre hommage et l'a pour cela traduit, excellemment. Si l'on se souvient bien, La Fontaine lui-même ne s'est pas gêné pour transcrire des fables de très anciens comme Ésope, ou Phèdre, lequel puisa également chez le Phrygien, qui sans doute avait jeté ses filets dans le vivier africain des contes traditionnels. Avec Jean Queval, la chaîne continue, et la fête.
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La rose et l'anneau
William Thackeray, Alain Le foli
- Les éditions du Chemin de Fer
- 17 Octobre 2025
- 9782940356577
En 1854, alors qu'il est déjà célèbre dans son pays grâce à La foire aux vanités et à son autobiographie, Pendennis (1850), plus célèbre encore aux États-Unis d'où lui est venue la renommée, William Makepeace Thackeray est à Rome. C'est au moment de Noël, pour ses filles, qu'il imagine la trame d'un conte de fées qu'il décrit comme une pantomime à jouer au coin du feu. De fait si tous les personnages du conte de fées sont bien réunis, c'est d'une parodie bien burlesque qu'il s'agit : la chronique politique, militaire, psycho-physiologique et amoureuse du règne de Valoroso XXIV, roi souverain de Paphlagonie.
La rose et l'anneau met en scène des idiots royaux, rois usurpateurs et princes dépossédés de leur trône légitime, le tout mené sous la baguette de la fée Bâton-noir qui complique les relations amoureuses en jetant entre tous les protagonistes un anneau magique et une fleur à la boutonnière qui rendent ceux qui les porte irrésistibles. Thackeray n'épargne aucun de ses nobles personnages, tour à tour contraints de tenir d'horribles promesses, d'affronter des lions affamés dans une arène, de parcourir la campagne en haillons ou d'espérer un sursis de dernière minute.
Conte pour enfants de son temps, La rose et l'anneau est bien plus un conte pour adultes qui résume tout ce que l'écrivain est à quarante-trois ans - notablement son goût pour l'Histoire, son obsession du snobisme, son effort vers une liberté de ton devant laquelle il a renâclé jusque-là, allant jusqu'à pasticher malicieusement Rebecca et Rowena de Walter Scott.
À l'origine du récit, un épisode du temps désastreux : la guerre de Crimée, qui débute en 1853 et donne à Thackeray le vocabulaire et la carte des opérations. Il s'agissait alors de défendre l'Empire ottoman contre l'invasion russe. La Crime-Tartarie est la Russie, les Paphlagoniens sont les Turcs. Parti de là, le conteur se réfugie dans les Temps Reculés, et les parsème d'allusions contemporaines anglaises, allusions à des jeux, à des sports, à des nuances de comportement, à l'université de Cambridge où il fit ses études. Cette transposition taquine le conduit à suggérer, sur un canevas de bêtises, de traîtrises et de catastrophes, la malfaisance satisfaite de la comédie politique et, à travers elle, la pérennité du malheur humain. Difficile de ne pas y voir de multiples résonances avec notre monde présent.
Pour de nombreux critiques, La rose et l'anneau, tant par les similitudes d'écriture (conte imaginé pour des enfants que les auteurs couchent ensuite sur le papier), que par la fantaisie que les deux textes se permettent pour se moquer de ses contemporains, précède et annonce Alice aux pays des merveilles, de Lewis Caroll. L'autre rapprochement qui s'impose l'est avec Ubu Roi d'Alfred Jarry, tant les analogies entre les deux textes sont légion. -
La physique des olympiades internationales : terminale
Matthieu Quéval
- Ellipses
- 21 Juin 2022
- 9782340068711
Vous êtes au lycée et la physique vous passionne ? Vous avez entendu parler du concours général ou des olympiades de physique ? Vous voulez faire des études scientifiques ? Ce livre est fait pour vous ! Vous y trouverez :
- Un cours clair dans lequel sont insérés des entraînements vous permettant de savoir si vous comprenez bien ce que vous lisez.
- Plus de 400 exercices et leurs corrigés détaillés en fin de chapitre, dont une bonne part issue d'annales de concours (olympiades, concours général, concours des grandes écoles d'ingénieurs, etc.) - Sur www.physica.fr les compléments du livre : animations, programmes, vidéos, conseils méthodologiques, travaux pratiques, etc.
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Le sport aurait-il le diable au corps ? Jusqu'où acceptera-t-on l'artifice technique ? Un avenir prothétique se dessine par le biais d'exosquelettes. En rendant interchangeables tous les organes du corps, y compris des parties du cerveau, du visage, le sujet se trouve face à la question de son identité et de sa permanence.
Si l'impératif de performance pèse dans le sport plus encore qu'ailleurs, et particulièrement dans le très haut niveau en projetant un corps indéfiniment perfectible, c'est la société tout entière qui est aujourd'hui traversée par l'obsession de la santé parfaite, de la jeunesse et de la beauté éternelles, occultant ainsi la souffrance, la mort, le handicap et la vieillesse. Que voulons-nous faire de notre propre corps ? Tout ce qui est techniquement réalisable doit-il se réaliser ? Par le prisme du sport, ces questions éthiques fondamentales nous sont posées.
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S'accomplir ou se dépasser ; essai sur le sport contemporain
Isabelle Queval
- Gallimard
- Bibliotheque Des Sciences Humaines
- 11 Mars 2004
- 9782070734719
L'idée d'un dépassement de soi-même, aujourd'hui si courante, est liée, historiquement, à l'avènement de la modernité. La pensée antique, toute marquée par la notion de finalité naturelle et enfermée dans un monde clos, ne la connaît pas. Pour l'astronomie, la physique, la médecine, pour l'histoire des gymnastiques et dans le culte du héros «sportif», prédomine l'idée d'une nature pourvoyeuse d'ordre et de normes ; elle interdit celle d'un progrès indéfini. Il faut attendre les bouleversements scientifiques des XVI? et XVII? siècles, le passage à l'idée d'univers infini, l'invention du sujet cartésien pour que puisse apparaître l'ambition d'une perfectibilité sans limites. Alors s'affirment dans l'élan des Lumières la liberté humaine face à la nature, la confiance dans l'amélioration toujours possible des performances et dans les techniques qui la permettent, l'éducation et la médecine. Le sport de haut niveau apparaît aujourd'hui comme le laboratoire expérimental de ce dépassement de soi, devenu l'emblème de notre idéologie contemporaine. Au-delà de la question classique sur les fins de l'exercice physique - s'accomplir ou se dépasser ? -, il est le révélateur des conséquences paroxystiques de ce culte et de cette obsession de la performance. À travers le dopage, à travers les manipulations génétiques, il pose le problème de fond sur l'évolution des sociétés contemporaines et sur le rapport, chez l'homme d'aujourd'hui, de la culture et de la nature. Quel est cet humain tout entier soumis à l'impératif idéologique et technique du dépassement de soi ?
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Repertoire d imprimeurs/libraires (vers 1470-vers 1830) - nouvelle edition mise a jour et augmentee
Mellot/Queval/Aguire
- BNF Éditions
- 2 Décembre 2019
- 9782717728194
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Cours expliqué avec de nombreux petits tests simples pour vérifier la compréhension des notions abordées (exercices d'entraînement) avec en fin de chapitre des exercices inédits et d'autres tirés des annales du Concours général et des Olympiades de Physique et de Chimie. Les corrigés sont tous détaillés.
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L'histoire de Karl-Axel, anti-héros et narrateur de ce roman, qui d'employé terne et maussade devient un parasite, un maquereau et un clochard et finit par tuer l'enfant de la femme qui l'a recueilli, est celle d'une longue déchéance, ou, peut-être, celle de la fuite vers un état embryonnaire, prénatal. Car s'il refuse de donner à sa femme, Clem, l'enfant qu'elle lui demande et s'il se révolte avec fureur contre toute procréation, c'est qu'il porte en lui un enfant avorté. Son enfance morte, avec ses frayeurs, ses jeux pas toujours innocents, ses blagues stupides, ses rondes et rengaines, colle à lui comme de la glu, s'insinue dans sa pensée, déforme son langage. Mais sur ses pensées, moins embryonnaires qu'on ne pourrait le penser, flottent le relent d'une religiosité également avortée, les fades odeurs de textes sacrés et de cantiques rabâchés, en un lancinant sentiment d'insuffisance et de péché ; et, c'est le plus grave, le manque d'amour. Quel obscur mysticisme pourrait se cacher à l'autre bout de cette nuit ? Mêlant le langage enfantin, les plaisanteries de potaches aux raisonnements théologiques, les rondes aux cantiques, les image de la Bible aux jeux de mots érotiques et poisseux, Gyllensten «mime» la pensée, le vide et le désespoir de son personnage avec une virtuosité étourdissante, avec un art subtil et insidieux.
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Le mythe du politique ou pourquoi les choses vont mal
Queval S.
- Cheval Vert
- 28 Janvier 2012
- 9782918583066
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L'autre n'est jamais différent au point d'être non-humain. Il est une variation de moi-même. Nous sommes tous des variations les uns des autres sur fond d'une même humanité. Cette continuité qui s'exprime, cette «â€¯différence de degré » et non «â€¯de nature », nous l'éprouvons aussi dans notre propre existence. Au fil de notre histoire, nous pouvons être affaiblis, amputés d'une partie de nous-mêmes, dépendants. Nous passons alors de l'autre côté d'un miroir qui demeure pourtant celui d'une même humanité. La différence de l'autre est aussi la mienne, aujourd'hui et demain. Le couperet qui tomberait entre le normal et le pathologique, le normal et l'anormal, la validité et l'infirmité, l'utilité et l'inutilité sociale, l'inclusion et l'exclusion est ici remis en question - il doit l'être, c'est la condition d'une société inclusive -, soumis à la critique. La volonté d'une inclusion possible fait ainsi pression sur les normes qui séparent, distinguent, discriminent.
Avec les contributions d'Alain Blanc, Claude Julie Bourque, Anne-Lyse Chabert, Julie Dachez, Simone Emmert, Charles Gardou, Nassira Hedjerassi, Simone Korff-Sausse, Florence Labrell, Cristina Lindenmeyer, Bertrand Quentin, Isabelle Queval, Didier Séguillon, Simona Tersigni, Flora Thiébaut, Alexandra Vié, Sabine Zorn.
Isabelle Queval est philosophe, professeure des universités à l'INSHEA, directrice du Groupe de recherche sur le handicap, l'accessibilité, les pratiques éducatives et scolaires (Grhapes) et titulaire de la chaire Unesco «â€¯ Handicap, Éducation et Numérique  ». -
Corps connectés, figures, fragments, discours
Olaf Avenati, Pierre-Antoine Chardel, Armen Khatchatourov, Isabelle Queval
- Presses De L'Ecole Des Mines
- Sciences De La Matiere
- 2 Juin 2022
- 9782356717658
Nos corps sont désormais inscrits dans les flux de données. Nos nouvelles expériences sensorielles, de déplacement ou d'être ensemble sont amplement modifiées à l'ère de l'hyper-connexion et du Big Data. Mais comment cette nouvelle manière d'envisager nos corps (de notre corps propre au corps social) se traduit-elle ? Quel impact cette condition numérique a-t-elle sur nos vies ? C'est à ces questions que le présent ouvrage s'intéresse, au fil des contributions issues de domaines variés, tels que l'art, le design, la philosophie, la sociologie ou la psychologie, en ouvrant des voies d'analyse aussi hétérogènes que complémentaires. Il s'agit par-là d'ouvrir de nouvelles pistes de réflexion critique, herméneutique et sociétale sur la manière dont nos subjectivités sont affectées par la mise en données de nos corps.
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L'ouvrage a pour ambition d'étudier les aspects négligés jusqu'ici dans l'oeuvre de Gottsched. En effet, les publications plus légères, ses poèmes en particulier, réduits à de simples écrits de circonstances ne sont pas sans intérêt et offrent un modèle qui, en réaction contre le maniérisme, valorise la sincérité du poète. Fidèles témoignages autobiographiques, ces oeuvres moins connues permettent de corriger la vision traditionnellement basée sur le rationalisme de Gottsched et proposée par la plupart des critiques. Afin de changer la perspective, nous avons également choisi un nouvel angle de vue: Eros. Gottsched n'est-il point tout simplement un produit de ce siècle dont la raison fut à la fois galante et libertine? E. Wolff voit en lui un être lubrique, Reichelt en fait un héros de vertu. Or Gottsched n'est en rien exceptionnel, ni par sa vertu, ou par ses vices, ni par son conservatisme religieux, ou encore par un rationalisme destructeur. Le portrait que cet ouvrage présente sans prétendre bouleverser l'image que nous avons de Gottsched, apporte des correctifs importants. Il désire surtout assouplir et humaniser l'image souvent trop rigide que nous avons d'un auteur mal aimé. Il faut enfin revoir la théorie esthétique de l'auteur pour y ajouter la notion de sublime. Car, avec le sublime, la raison s'allie au coeur et à la sensibilité, une sensibilité qu'on dénie trop souvent à Gottsched.
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Critique de la raison inclusive : formation, apprentissages, médiations
Fréderic Dupre, Isabelle Queval, Sabine Zorn, Elise Brayet
- Champ Social
- 14 Août 2025
- 9782366161373
L'étymologie vaut parfois programmeâE%: dans la ÏEιÎ'γÏ%γί (paidagôgía) grecque, cet art d'éduquer les enfants, il y a d'abord l'enfant, ÏEιÎ'ÏoeÏ, (paidÏoes), puis le verbe γÏ% (ágô) qui signifie «âE¯mener et conduireâE¯», «âE¯guiderâE¯», «âE¯diriger, élever et formerâE¯». En outre, la pédagogie s'étend aux soins que l'on peut donner aÌE une plante ou encore à un malade. Entre l'« éduqué », enfant, jeune, catégorie élargie à l'adulte dans le cadre de la formation tout au long de la vie, et la connaissance, il y a donc des chemins aÌE parcourir qui nécessitent d'être accompagneÌ et guideÌ, et qui promettent de grandir et de s'instruire. La correspondance entre celui ou celle qui apprend et ce qui peut/doit être appris ne va pas de soi. Pas de transfert mécanique de la connaissance vers le cerveau en formation, vers la personne à éduquer. La plupart du temps, le processus d'apprentissage déjoue les pseudo-évidences. Il est sinueux, déroutant, encombreÌ d'« obstacles épistémologiques » de toute nature. Bachelard, qui pose et dissèque ces obstacles, en résume l'effet désolant : « J'ai souvent été frappé du fait que les professeurs de sciences, plus encore que les autres, si c'est possible, ne comprennent pas qu'on ne comprenne pas. » La pédagogie est donc un art, celui d'inventer des chemins, singuliers, l'issue n'étant jamais certaine.
Avec les contributions d'Alexandre Booms, Claude Julie Bourque, Élise Brayet, Karine Buard, Frédéric Dupré, Muriel Epstein, Serge Ebersold, Marion Fabre, Florence Labrell, Régis Malet, Muriel Molinier, Marie-Joëlle Orêve, Édith Petitfour, Isabelle Queval, Sophie Sakka, Sabine Zorn. -
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Le projet du « petit abécédaire philosophique du sport » est venu de l'idée conjointe de surprendre et d'apprendre, c'est-à-dire de révéler des facettes du sport à la fois connues en apparence et méconnues dans leurs présupposés. « machine à faire penser », le sport de haut niveau exacerbe bien des aspects de la société contemporaine: culte de la performance, sculpture et formatage du corps, addictions pharmacologiques, médicalisation de la vie, artificialisation de l'humain. mais le sport de haut niveau n'est pas « tout le sport »... il s'agit de montrer aussi la réalité du sport de masse, de l'éducation physique et les significations sociales de la « sportivisation » des moeurs et des corps : injonction médicale à faire de l'exercice, modelage corporel, esthétisation des apparences, culte de la « forme ». de argent à violence en passant par dopage, longo (jeannie) et olympisme, la forme de l'abécédaire elle-même suggère la liberté de la lecture et de la réflexion, selon un ordre et un temps propre à chacun, des intérêts, des curiosités divers.
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L'unification allemande ; 1989-1990
Marie-hélène Quéval
- Editions Du Temps
- Questions De Civilisations
- 1 Octobre 1998
- 9782842740528
L'unification allemande : pourquoi ce titre alors que l'usage préférerait celui de réunification ? Est-ce pour des raisons politiques ou géographiques ou par simple souci d'exactitude scientifique ? Est-ce pour mettre en évidence que l'union de la RFA et de la RDA ne rétablit pas un état ancien, ou pour souligner que l'Allemagne d'aujourd'hui est une création nouvelle, qu'elle n'est pas la réunion de deux États séparés artificiellement mais l'assemblage de deux États indépendants et souverains ?
Après un court rappel historique, cet ouvrage se penche sur le problème essentiel de la nation allemande, ainsi que sur les problèmes sociaux et économiques qui ont servi de terreau aux mouvements de contestation. Les acteurs de la révolution de 1989 désiraient-ils vraiment cette union des deux Allemagnes ? Quels étaient leurs espoirs ? Quelle fut leur déception ! De par sa position géopolitique, l'Allemagne ne pouvait agir sans tenir compte de ses voisins européens et des deux grandes puissances qu'étaient les États-Unis et l'URSS.
Cet ouvrage essaie de répondre à toutes ces questions et de donner les instruments nécessaires pour comprendre un sujet complexe. Texte en allemand.
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Die niemandsrose ; le lyrisme de celan
Marie-hélène Quéval
- Editions Du Temps
- Lectures D'une Oeuvre
- 25 Octobre 2002
- 9782842742058
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Oeuvres poetiques gedichte de rainer maria rilke
Marie-hélène Quéval
- Editions Du Temps
- Lectures D'une Oeuvre
- 13 Octobre 2004
- 9782842742812
"...
Les poèmes traduits ne sont jamais que des colombes auxquelles on a coupé les ailes, des Sirènes arrachées à leur élément natal, des exilés sur la rive étrangère qui ne peuvent que gémir qu'ils étaient mieux ailleurs. " (M. Yourcenar). Rainer Maria Rilke ferait-il exception, lui qui a non seulement porté la poésie allemande à un degré de perfection rare, mais également su charmer les oreilles étrangères au-delà de son pays, tout particulièrement en France où il est devenu un mythe.
Pourtant sa poésie reste difficile. Aussi ce volume a-t-il réuni les meilleurs spécialistes européens, américains et australiens pour tenter d'en percer les mystères.