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alain
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Voici le jardin du philosophe. On y cueillera des fruits mûris sur le tronc de la sagesse commune et dorés à cette autre lumière des idées. Ils en reprennent leur saveur d'origine, qui est le goût de l'existence. Saveur oubliée en nos pensées ; car on voudrait s'assurer que l'existence est bonne et on ne le peut ; on en déçoit donc l'espérance par précaution, prononçant qu'elle est mauvaise. De là s'étend l'empire de l'imagination déréglée, en quoi Alain, se confiant à la sagesse du corps, restaure la souveraineté claire de l'homme heureux et qui n'attend pas pour l'être, ici et non ailleurs, que l'événement lui donne raison, acteur enfin et non spectateur de soi-même.
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«Au temps de Socrate, il y avait à Delphes, comme chacun sait, une espèce de Sibylle inspirée par Apollon, et qui vendait des conseils sur toute chose. Seulement le dieu, plus honnête que notre marchand de fluide, avait écrit son secret au fronton du temple. Et lorsqu'un homme venait interroger le destin, afin de savoir ce que les choses feraient pour ou contre lui, il pouvait lire, avant d'entrer, ce profond oracle, bon pour tous:Connais-toi.»«Connais-toi», «Des passions», «De l'imagination», «Ne pas désespérer», «Du devoir d'être heureux»... Trente superbes fragments de l'une des oeuvres phares d'Alain:Propos sur le bonheur.
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Maître de la prose d'idées, Alain est surtout connu pour ses Propos sur le bonheur. Mais il est également virtuose dans l'art de la critique. Sa plume acerbe n'épargne rien ni personne : l'éducation, les actionnaires, l'Église, les fonctionnaires, le mariage... tout est sujet à l'examen philosophique. Courts, accessibles et stimulants, ces Propos rebelles nous invitent à découvrir un pan méconnu de l'oeuvre d'Alain, pour ne jamais se résigner. Êtes-vous prêts à vous rebeller ?
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Quel sens revêt l'avènement de la démocratie, faisant triompher l'idéologie du peuple souverain a Vient-il consacrer la puissance de l'État en lui apportant sa légitimation ? Ou introduit-il la légitimité d'un contrepouvoir qui vise précisément à empêcher l'unification dans l'État souverain des forces actives d'une nation, intégrées au système de la compétence, à dissocier ainsi les pouvoirs, à les limiter, c'est-à-dire à les contrôler. Le sens de la démocratie est l'enjeu d'une prise de conscience des droits du citoyen, droit à la différence et à la résistance dans des espaces non unifiables d'obéissance.
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Abrégé de philosophie pour les aveugles
Alain
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 16 Février 2022
- 9782743655037
Savant sans être pédant, populaire sans être simpliste, Alain incarne la figure du professeur parfait de philosophie. En acceptant d'écrire un texte originellement destiné à être traduit en braille, ce pédagogue de haute volée a relevé le défi de brosser un bref panorama de l'histoire de la philosophie pour les personnes dites non-voyantes. Résultat : de splendides miniatures où, en quelques mots, Alain disqualifie l'érudition pour préférer un discours humain et sensible, une rencontre coeur à coeur avec les grandes figures de la philosophie. Alors, non seulement leurs oppositions conceptuelles, mais aussi les différences fondamentales de leurs expériences du monde, s'estompent et convergent vers l'affirmation d'une humanité commune - à eux, à nous, à tous.
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Des principes fondamentaux de la connaissance aux questions de morale, de la philosophie des sciences à la métaphysique, Alain donne une vue d'ensemble de ce qu'est la philosophie.
Tous les élèves d'Alain ont gardé un souvenir inneffaçable de son enseignement. Dans les Éléments de philosophie, on retrouve le grand professeur qui a marqué tous ses disciples : ses cours constituent l'introduction à la fois la plus claire et la plus profonde aux problèmes essentiels de la philosophie.
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«J'ai répudié toute règle ; sinon celle que j'aimais à peu près tout, qu'il fallait donner de tout, ne pas oublier un de ces Alain qui sont Alain. Ni le jeune, qui est déjà l'admirable, vif, agressif, pensif, le feutre sur l'oreille, le coeur à tout, ni l'autre, dans la lumière de la plus belle lumière, comme il n'y avait pas eu de lumière depuis Platon. Ni les livres préférés, ni les oiseaux, ni les astres, ni les boutades et presque les manies, dont il souriait, cet entêtement qui ne faisait qu'un avec son génie... Je confesse que j'inclinais à cet Alain que j'avais suivi sur les sentiers de la Bretagne et des dieux...» Maurice Savin.
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"Je me suis proposé de faire en sorte qu'il ne manque rien à cet ouvrage de ce qui peut donner à un étudiant le goût de la philosophie." Puissant éveilleur d'esprits, grand sophiste et admirable professeur, Alain a marqué profondément son époque et ses disciples et a laissé, à travers ses écrits, un enseignement durable où s'expriment son hostilité au pouvoir et sa méfiance à l'égard des systèmes.
Ce volume dont les textes sont consacrés successivement à Platon, Aristote, Descartes, Hegel et Comte, forme un ensemble de remarquables commentaires et peut être considéré comme une vivante introduction à la philosophie.
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Dans ses quelque cinq mille Propos, écrits de 1906 à 1914, puis de 1921 à 1936, Alain avait pour méthode de confronter toujours l'événement quotidien aux exigences pures de l'esprit : aussi la plupart d'entre eux continuent-ils de faire écho aux inquiètes contestations de notre temps.
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Le lecteur retrouvera dans ce volume les grands thèmes d'Alain sur la prééminence de la morale, sur la nature de la perception, du jugement, de la raison, sur les doctrines de grands philosophes. Mais aussi, et plus près d'une réalité qu'il a fortement vécue, ses souvenirs de guerre, et le pamphlet : Mars ou La guerre jugée, qui ne perdra jamais de sa vigueur. Tout cela soutenu, dans l'ensemble, par le souvenir de Jules Lagneau, son maître, avec lequel il ne fut pas toujours d'accord, mais qu'il élève au-dessus des plus grands.
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Propos sur l'éducation ; pédagogie enfantine (7e édition)
Alain
- PUF
- Quadrige
- 24 Février 2015
- 9782130634829
Deux textes sont ici rassemblés. Les Propos sur l'éducation sont des réflexions générales et théoriques, parfois lapidaires, publiées en un volume en 1932. La Pédagogie enfantine correspond à une série de trente et une leçons (octobre 1924 - juin 1925) rédigées à la demande de la directrice du Collège Sévigné qui souhaitait un cours destiné à ses élèves, futures « jardinières d'enfants ». « Ce texte assurera une meilleure intelligence des Propos, dans la mesure où il en explicite la cohérence doctrinale et l'assise philosophique », note Robert Bourgne dans un Avertissement.
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«Les idées ici proposées ne dépendent point de quelque idée supérieure d'abord posée, et ne conduisent même point à quelque notion commune qui puisse définir tous les arts en peu de mots. Au contraire je me suis attaché à marquer les différences, les séparations , les oppositions, me réglant ainsi, autant que peut faire la critique, sur les oeuvres elles-me mes, dont chacune s'affirme si bien et n'affirme qu'elle.» Alain.
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« D'abord massacrer les lieux communs », telle est l'ambition du jeune philosophe Alain qui attaque, chaque matin, en une de La Dépêche de Rouen et de Normandie, les « tenants du désordre établi ». Églises, académies, partis, politiciens, bureaucrates, sorbonnards, misogynes, bourgeois, bellicistes et tyrans de tout poil constituent les cibles favorites d'un polémiste cinglant qu'on a parfois tendance à oublier.
De 1906 à 1914, il donne 3083 chroniques, écrites avec quelle virulence ! Dans chacun des 43 textes choisis, on redécouvre un penseur qui s'insurge. Sa lucidité et son impertinence d'esprit s'appliquent à merveille à l'injustice et à la bêtise de notre monde. -
Voici le jardin du philosophe. On y cueillera des fruits mûris sur le tronc de la sagesse commune et dorés à cette autre lumière des idées. Ils en reprennent leur saveur d'origine, qui est le goût de l'existence. Saveur oubliée en nos pensées ; car on voudrait s'assurer que l'existence est bonne et on ne le peut ; on en déçoit donc l'espérance par précaution, prononçant qu'elle est mauvaise. De là s'étend l'empire de l'imagination déréglée, en quoi Main, se confiant à la sagesse du corps, restaure la souveraineté claire de l'homme heureux et qui n'attend pas pour l'être, ici et non ailleurs, que l'événement lui donne raison, acteur enfin et non spectateur de soi-même.
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J'ai relu cinquante fois le lys, la chartreuse, le rouge et le noir ; ces oeuvres ne s'usent point ; tout le plaisir qu'elles m'ont donné revient autour d'elles comme une parure.
Il est vrai que j'ai beaucoup lu aussi les mousquetaires, la reine margot ; mais alors en courant, car je n'y cherche qu'une apparence. je lis et je relis sans fatigue les récits de kipling. l'île au trésor, de stevenson, est presque écrite dans ma mémoire. je fais ces aveux pour qu'on entende bien que je suis un liseur de bon appétit ; autant dire qu je ne donnerais pas mon goût personnel comme règle ; et, autant que je sais, nul n'est bon juge, ni pour les romans, ni pour la peinture, ni pour aucun genre d'oeuvres.
Mais, pris ensemble, les hommes sont de bons juges. alain.
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" qu'est-ce qu'un propos ? c'est d'abord un article de presse, de deux ou trois feuillets, s'adressant par définition à tout le monde, disons à tous ceux qui savent lire, et leur offrant, quel que soit son objet particulier, comme une leçon de philosophie appliquée.
J'ai pratiqué parfois l'exercice. mon admiration pour alain, déjà grande, s'en est trouvée sensiblement augmentée. personne avant ni après lui n'a réussi aussi souvent, ni aussi brillamment, une telle gageure élever, comme il disait, " l'entrefilet journalistique au niveau de la métaphysique " . c'est le cas, spécialement, dans ces admirables propos sur des philosophes. le professeur inoubliable que fut alain vient soutenir le journaliste qu'il fut aussi, l'un et l'autre indissociables du philosophe qu'il demeure.
Je ne connais pas de plus belle invitation à lire les grands auteurs, à les relire, à les méditer, enfin à s'en libérer, ce qui est la fidélité vraie à ces maîtres de liberté. " andré comte-sponville.
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Le roi pot ; chronique de l'autre règne
Alain
- Gallimard
- Tirages Restreints
- 14 Mai 1959
- 9782070160143
On sait qu'Alain fit la guerre de 1914-18 comme canonnier. De cette expérience est né, entre autres, Mars ou La Guerre jugée. Le Roi Pot pourrait bien être, sous une forme très différente, un état antérieur de ce chef-d'oeuvre. Avec Le Roi Pot, resté inédit, Alain avait voulu écrire une sorte de roman satirique, dans la manière du XVIII? siècle. Son héros s'appelle Urbain ; c'est un gentil militaire qui raisonne naïvement - mais non sans subtilité, on s'en doute - sur toutes sortes de sujets se rapportant au métier des armes. Le pays qu'il sert s'appelle la Poterie. Quant au Roi Pot, c'est le symbole du pouvoir aveugle et sourd. Urbain fait la guerre. Et il la juge avec la hauteur, la liberté, la cruauté, souvent, d'Alain lui-même.
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Propos sur l'education suivis de pedagogie enfantine (6ed)
Alain
- PUF
- Quadrige
- 2 Mai 2005
- 9782130550983
deux volumes ont été regroupés dans cette édition quadrige publiée pour la première fois en 1986.
les propos sur l'éducation sont des réflexions générales et théoriques, parfois lapidaires, publiées en un volume en 1932. la pédagogie enfantine correspond à une série de trente et une leçons ( octobre 1924-juin 1952) rédigées à la demande de la directrice du collège sévigné qui souhaitait un cours destiné à ses élèves, futures " jardinière d'enfants ". " ce texte assurera une meilleure intelligence des propos, dans la mesure où il en explicite la cohérence doctrinale et l'assise philosophique " note robert bourgne dans un avertissement.
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Tous les lecteurs des Propos d'Alain ont remarqué des pages d'un mouvement poétique et éloquent à la fois, consacrées notamment, et à plusieurs reprises, aux fêtes de Noël et de Pâques. Ces essais de philosophie religieuse restaient énigmatiques ; on s'étonnait de trouver ensemble l'incrédulité la plus irréligieuse, et en même temps les mouvements de la foi. L'auteur voulait-il dire seulement qu'il y avait dans ces mythes une beauté touchante ? Ou bien n'était-on pas amené à soupçonner que ces produits de l'imagination populaire enfermaient des vérités de première importance, et toutes destinées à figurer dans un système strictement positif ? L'auteur des Propos a réalisé pour la religion ce qu'il avait déjà essayé pour les Beaux-Arts avec le succès que l'on sait, c'est-à-dire donner tout son sens à l'imagination vraie par un exposé continu et systématique. Du moment que les mythes directeurs de notre civilisation signifiaient des vérités humaines de grand prix, il fallait chercher, en remontant, ce que signifiaient déjà les mythes olympiens de la puissance, et, encore au delà, le sens de ces étranges religions qui ont pour objets les choses de nature, le volcan, le serpent, la vache. Au delà, et comme un fond de tableau, s'offraient les Contes qui sont partout les mêmes et éternellement jeunes. Il s'agissait de discerner en quoi toutes ces religions sont vraies, en quoi les contes eux-mêmes sont vrais. C'est ce que l'auteur a exécuté en commençant par les contes, en passant de là à la religion panthéiste, puis à la religion politique qui est le culte des héros, et enfin à la religion de l'esprit, la plus haute. Et l'idée neuve, appuyée sur ces quatre assises, c'est que ces religions sont et seront toujours vraies, et indiquent plutôt, selon le mot de l'auteur, les étages de l'homme que les étapes de l'homme. L'exécution est faite dans un mouvement lyrique, mesuré sur le sujet même, en sorte que l'harmonie entre les mythes populaires et la structure humaine est toujours rappelée comme étant ici la preuve de choix. Et du reste il est évident, par la sobriété et l'équilibre de la composition, que l'auteur a voulu faire court autant qu'il était possible de façon que l'ensemble ne cessât jamais d'éclairer les parties. Le moins qu'on puisse dire c'est que cet ouvrage doit plonger les esprits profondément religieux, comme les esprits irréligieux, dans un prodigieux étonnement, par un radical changement des perspectives, et, on oserait dire, par l'abolition d'un genre de polémique qui n'a jamais mené à rien. Le salut de l'âme est quelque chose pour tout homme et es discussions théologiques n'arriveront jamais à changer la question.
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Alain met au point à partir de 1906 le genre littéraire qui le caractérise, les Propos. Ce sont de courts articles, inspirés par l'actualité et les événements de la vie de tous les jours, au style concis et aux formules frappantes, qui couvrent presque tous les domaines. Cette forme appréciée du grand public a cependant pu détourner certains critiques d'une étude approfondie de son oeuvre philosophique. Beaucoup de Propos sont parus dans la revue Libres Propos (1921-1924 et 1927-1935) fondée par un disciple d'Alain, Michel Alexandre. Certains ont été publiés, dans les années trente, dans la revue hebdomadaire L'École libératrice éditée par le Syndicat national des instituteurs. Il s'inspira de Platon, Descartes, Kant et Auguste Comte - mais il se réclama avant tout de Jules Lagneau, qui fut son premier professeur de philosophie, au lycée de Vanves (actuel lycée Michelet). Il n'oublia jamais, toute sa vie durant, celui qu'il appela « le seul Grand Homme que j'aie jamais connu », et dont la rencontre fut pour Alain aussi décisive que celle de Platon avec Socrate : « Parmi les attributs de Dieu, il avait la majesté. [...] Ses yeux perçants traversaient nos coeurs et nous nous sentions indignes. L'admiration allait d'abord à ce caractère, évidemment inflexible, inattentif aux flatteries, aux précautions, aux intrigues, comme si la justice lui était due. Le but de sa philosophie est d'apprendre à réfléchir et à penser rationnellement en évitant les préjugés. Humaniste cartésien, il est un « éveilleur d'esprit », passionné de liberté, qui ne propose pas un système ou une école philosophique mais apprend à se méfier des idées toutes faites. Pour lui, la capacité de jugement que donne la perception doit être en prise directe avec la réalité du monde et non bâtie à partir d'un système théorique. Alain perd la foi au collège sans en ressentir de crise spirituelle. Bien qu'il ne croie pas en Dieu et soit anticlérical, il respecte l'esprit de la religion. Il est même attiré par les phénomènes religieux qu'il analyse de façon très lucide. Dans Propos sur la religion et Propos sur le bonheur il fait transparaître, un peu comme chez Auguste Comte, une certaine fascination pour l'Évangile et pour le catholicisme, dont il aime la dimension universelle.
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Lecteur à la manière de Montaigne, Alain fréquentait, au gré de son humeur, les esprits fraternels qu'il avait élus comme compagnons. Balzac fut de ceux-là. Le prenant et le reprenant «comme une nourriture, pour penser maintenant, pour vivre maintenant», il a célébré en lui «le nouvel Homère», «le génie enchanteur le plus généreux peut-être contre l'ennui». Ce volume rassemble pour la première fois, hormis les Propos où Balzac est évoqué, tous les textes, dont certains inédits, qu'Alain, au fil de son existence, lui a consacrés.
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Avertissement, par FRANÇOIS FOULATIER, 5, I 1935 - STENDHAL Dédicace à Mme Morre-Lambelin, 9 CHAPITRE PREMIER. - L'INCRÉDULE, 11 Descartes jugé par Stendhal, 11. - Stendhal contre le Jésuite, 11. - Politique de Fabrice, 12. - L'esprit libre en Stendhal, 14. - Fabrice et Blanès, 16. - Pressentiments, 17. - Stendhal comparé à Balzac, 18. - Religion de Stendhal, 19. - L'art de sentir, 20.
CHAPITRE II. - L'HONNTE HOMME, 22 Si La Chartreuse est un livre immoral, 22. - Qu'est Julien Sorel ?, 23. - Julien et Tascheron, 24. - Le repentir de Fabrice, 24. - L'Abbesse de Castro, 25. - Mosca, 27. - Analyse toute claire, 28. - Morale intérieure, 28. - Le géomètre, 29. - Fouqué, 30.
CHAPITRE III. - LE POLITIQUE, 31 Le gouvernement de Rome, 31. - Réalisme, 32. - Violence politique, 34. - L'égalité, 35. - Le despotisme, 36. - Le réel, 37. - Politique et passion dans Julien, 38. - Le Rouge et le Noir, 38. - Lucien Leuwen, 40.
CHAPITRE IV. - L'AMOUREUX, 43 Cynisme, 43. - Fabrice léger, 44. - Mosca, 45. - Sanseverina, 46. - Le génie féminin, 47. - Jalousie, 47. - L'amour de soi, 49. - L'amour généreux, 50. - Les héroïnes, 51. - Stendhal Cornélien, 52. - Cristallisation, 53. - Libre obéissance, 54. - Lamiel, 55.
CHAPITRE V. - L'AMATEUR DE MUSIQUE ET DE PEINTURE, 59 La musique, 59. - Vie de Haydn, 60. - Musique et solitude, 62. - Mélodie et harmonie, 63. - Culture contre vanité, 64. - Sentir juste, 65. - La peinture, 66. - Les autres, 69. - Tant de Français incapables de sentir les arts, 70. - Simplicité en Stendhal, 71. - La Cène, 72. - La Pieta, 74.
CHAPITRE VI. - L'ÉCRIVAIN, 76 La langue commune, 76. - Style comédien, 77. - Style heureux, 79. - L'emphase et l'esprit, 80 - Style de La Chartreuse, 82. - L'épique, 83. - L'inspiration, 85. - Stendhal dans l'histoire de la prose française, 86. - Le sublime, 90. - Lucien Leuwen, 91. - Lamiel, 92. Sommaire biographique, 94 II AUTRES ÉCRITS SUR STENDHAL 1. - 1910-1930 - Douze propos sur Stendhal, 99 2. - 1935 - L'art d'écrire. L'Auberge Rouge, 125 3. - 1939 - Du romanesque d'ambition ou de l'amour selon Stendhal, 135 4. - 1938-1949 - Journal, 149 5. - 1949 - Introduction à Lucien Leuwen, 171 Les leçons du manuscrit "Stendhal", par FRANÇOIS FOULATIER, 187 Notice bibliographique, par PIERRE ZACHARY, 193 Postface, par ROBERT BOURGNE, 199