Semainier classique de septembre 2025 à décembre 2026 Une citation chaque semaine, pour découvrir la richesse des auteurs français et étrangers qui ont nouri depuis 80 ans le catalogue de la Série Noire. Pour accompagner ces citations, une préface de Stéfanie Delestré, l'éditrice de la collection, ainsi qu'une bibliographie de toutes les oeuvres citées. Et toujours les grandes fêtes, les anniversaires d'écrivains, des anecdotes littéraires, les salons et festivals du livre, un cahier de pages blanches «croquis & notes», un cahier vierge ligné «citations & notes», «lectures», «envies». Papier de couverture couché brillant 130 g/m² pour résister à un usage quotidien, reliure dos carré cousue au fil blanc, papier intérieur Schleipen Fly 90 g/m². Format : 11,8 × 18,5 cm - 224 pages, couverture rigide «Série Noire» avec un signet en satin jaune, intérieur impression 2 couleurs. Lire la suite Fermer

«C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.» Chaque carnet s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.

«Le baiser n'est qu'une préface, pourtant. Mais une préface charmante, plus délicieuse que l'oeuvre elle-même, une préface qu'on relit sans cesse, tandis qu'on ne peut pas toujours... relire le livre.» Le Baiser,1882. Guy de Maupassant Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.

Titre de Stefan Zweig, repris en Bibliothèque de la Pléiade et en Folio classique

Titre de Jules Michelet, paru en quatre tomes de 1959 à 1976 dans la collection blanche

«Écrire c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.

Titre de Guy de Maupassant

Titre de Marguerite Yourcenar, paru en 1968 dans la collection blanche

«Ce que l'on n'a point assez dit, c'est que c'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux.» Propos sur le bonheur, 1928. Alain Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.

«Merci, vous êtes vraiment... Merci...» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.

Titre de Charles Baudelaire, repris en Poésie/Gallimard et en Folio

Titre de Blaise Pascal, repris en collection blanche en 1937

«J'aime les mots, leur sens ancien, les passerelles que ça crée. L'impression d'un ordre, d'une cohérence, d'un enracinement, le seul qui tienne dans ce monde de folie. Où les mots ne veulent plus rien dire. Où la vérité ne compte plus.» Croire au merveilleux, 2017. Christophe Ono-dit-Biot Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.

Titre de Jane Austen, repris en Folio classique en 2009

Titre d'André Malraux, paru en 1937 dans la collection blanche

Titre de Pascal Quignard, paru en 1991 dans la collection blanche

Titre de Daniel Pennac, paru en 1992 dans la collection blanche

Titre de Roger Nimier, paru en 1965 dans la collection blanche

Titre de Pierre Mac Orlan, paru en 1951 dans la collection blanche

Titre d'Émile Zola, repris en Folio classique en 1980

Titre de Blaise Cendrars paru en 1956

Titre de Lise Deharme, paru en 1945 dans la collection blanche

« [...] l'essence de la littérature, c'est d'échapper à toute détermination essentielle, à toute affirmation qui la stabilise ou même la réalise : elle n'est jamais déjà là, elle est toujours à retrouver ou à réinventer.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.

Titre de Jacques-Émile Blanche, paru en 1915 dans la collection blanche