Filtrer
Area
-
A partir d'anecdotes et une suite d'oeuvres placées sous le thème des boîtes à secret, le peintre Milshtein revient aux sources de sa création. C. Urjewicz lui donnant la réplique, il retrace son enfance dans l'Union Soviétique en guerre, à une époque où il doit fuir l'avancée des troupes nazies, relate son espérance de revoir son père déporté en Sibérie et de trouver un refuge.
-
-
-
Ce numéro 25ème de la revue area s'intéresse au patrimoine et souhaite proposer un bilan de ce qui forge l'art et notre culture.
Le patrimoine fait appel à l'idée d'un héritage légué par les générations qui nous ont précédées, et que nous devons transmettre intact ou augmenté aux générations futures.
Ce numéro pose donc la question du passé mais surtout de son interprétation présente, et montre que le patrimoine est aussi affaire d'idéologie; porteur de sens et de discours. La revue area interroge des penseurs, des artistes, des politiques, des historiens mais aussi d'importantes institutions internationales.
Elle met ainsi au jour les grandes problématiques qui sous tendent cette notion :
Qu'est ce qui devient patrimoine?
Quel lien entre cette notion et la propriété?
Dans quelle mesure le patrimoine définit-il une identité?
Quelles sont les attitudes neuves par rapport au patrimoine?
Qu'est-ce que le patrimoine immatériel?
Quel est le lien entre patrimoine et modernité?
-
AREA n.19/20 : féminin pluriel ; 120 femmes s'expriment
Area
- Descartes & Cie
- Area
- 8 Octobre 2009
- 9782844461513
Comment se déploie aujourd'hui le féminin dans la création artistique ?
Il n'y a pas de réponse unique, le féminin est pluriel et sa richesse d'autant plus grande.
40 ans après les mouvements de libération des femmes Où en sont les combats des femmes et la création féminine ?
Une nouvelle image des femmes émancipées par l'oeuvre qu'elles proposent à la société se dessine t-elle ?
La parité est-elle rentrée dans les faits de l'art ?
Puisqu'il est question de sensibilité, qu'est-ce que le féminin aurait apporté à l'imaginaire de nos sociétés ?
Essentiellement tournée vers des artistes plasticiennes, la revue interrogera des artistes majeures qui ont contribué à modifier les paysages artistiques dans tous les domaines de la création...
-
-
-
Art et métiers d'art s'influencent. Les objets empreints de la marque de l'homme proposent l'idée d'une modernité humanisée et plus consciente de l'environnement. Ils définissent une nouvelle approche du sensible
-
A travers ces entretiens avec des personnalités liées à la danse (C. Carlson, G. Acogny, P. Cambon, etc.), ce numéro examine l'expression corporelle sous ses multiples aspects, du ballet classique à la danse contemporaine, en passant par les formes rituelles des peuples du monde entier.
-
-
Allégories et Métamorphoses rend compte de l'aventure artistique de Christiane Durand. Depuis ses débuts abstraits, jusqu'à son engagement dans la sculpture. Chacune des étapes de sa création est abordée afin de rendre compte de son oeuvre si vaste.
Christine Durand pose ses premiers pas dans l'univers de la peinture sur les traces de la modernité. Abstraction affirmée par un geste souvent sombre soutenu et toujours précis, se refusant à tout lyrisme. Il s'en suit des espaces qui saisissent le regard, le conduisant par le mouvement des gestes à percevoir le corps de l'artiste, chaque touche est son prolongement sur le tableau.
On perçoit la danse des bras : présence et la cible d'un projet d'être, et au-delà, s'affirme une structure puissante qui, s'imposant à la toile, évite tout écueil paysager.
Déjà, la volonté d'une touche large, spatiale et précise qui annonce les cernes qui caractériseront plus tard ses figures.
Epoque où ses amitiés la dirigent vers la Galerie de France que dirige Gildo Caputo, favorisant sa rencontre avec les maîtres de l'abstraction, Manessier, Soulage, Bazaine...
Son geste change, mais la même fermeté s'affirme à travers une écriture caractérisée par les rythmes qu'elle induit. Ils occupent l'espace avec une vigueur ondulatoire où les espaces oscillent, qu'ils s'élancent formant des losanges allongés, prennent l'aspect d'accent, de vague, de crêtes.
Ils se signifient comme les portions d'un espace dont le regard imagine qu'il poursuit en dehors du tableau jusqu'à en épuiser la notion d'infini. -
Akira Inumaru travaille autour de l'image de la fleur, de la feuille, non pas réellement par passion pour le végétal, mais pour l'interaction profonde de ce vivant avec la lumière.
Il réalise des portraits de jardins, allant jusqu'à exposer au Château de Villandry.
Artiste visuel, la lumière est la matière première de tout ce que je fais.
La lumière ne cesse de m'étonner, tant elle est le moteur du vivant. Je travaille avec elle, je joue de ses forces.
Mes réflexions m'ont conduit à confirmer que mon travail artistique doit être en osmose avec les éléments de la nature aussi, les jardins me passionnent et sont devenus des terrains de recherches, comme au Château de Villandry et à Varengeville-sur-Mer. -
-
AREA : François-Xavier Fagniez ; écritures d'eau
Area
- Descartes & Cie
- Area
- 17 Novembre 2011
- 9782844462053
"La place de l'eau occupe tout l'espace", François-Xavier Fagniez.
-
-
Couvert du manteau de la nuit, le monde se rassemble.
Yeux fermés sur le noir cosmique, il s'endort dans la nuit des temps et rouvre les portes de l'espérance infinie portée par la lumière des étoiles.
Qu'en est-il dans l'art des lumières de la nuit contemporaine?
La lumière révélée par la nuit. Installations de James Turrel, néons de Dan Flavin : de nombreux artistes confrontent la lumière à son ombre, inventent de nouvelles couleurs.
Vibrations au diapason noir de la nuit.
Travail de la couleur sans couleur. Noir, c'est noir :
Pour Pierre Soulages le noir est un absolu. Rencontre avec un maître de la lumière.
Les nuits multicolores. Pour d'autre la nuit n'est pas noire, mais saisie par l'ivresse des fulgurances, elle est multicolore, comme chez Robert Malaval avec ses poussières d'étoiles.
Longtemps, les monstres ont été engendrés par le sommeil de la raison. Le vingtième siècle a vu paraître des monstres engendrés par la raison en éveil.
Les couleurs du noir. Au-delà des blessures, les sourires de l'art savent faire pleurer en rose comme en noir. Eclat des étoiles mortes des peintures vitales de Milshtein.
Le noir n'est pas une couleur. Jean Pierre Bibring est astrophysicien. Il invente des modules qui visitent la planète Mars. Il parle du voyage dans la nuit cosmique, de la couleur des étoiles, des lumières stellaires. Jean-Pierre Faye est philosophe. Il s'intéresse aux nuits de plomb préparées par les langages totalitaires d'hier et de demain. Textes. Les installations de Dino et Jack Chapmann et de Malvina Silbermann reviennent sur la nuit des camps d'exterminations, Hervé Télémaque met le noir aux couleurs de l'esclavage. Entretiens exclusifs.
-
-
Il Y a cinquante ans, la France était le premier pays du monde occidental à reconnaître officiellement la République Populaire de Chine. Ce fut le début d'une nouvelle ère dans les échanges entre nos deux pays.
Evoquer les rapports qui unissent la Chine à la France, c'est s'inscrire dans une histoire forte. Depuis des siècles, l'art et la pensée chinoise exercent une fascination, qui se mesure au nombre de musées et d'institutions qui se consacrent aux cultures asiatiques.
La France est aussi un havre privilégié pour les créateurs chinois.
Artistes, écrivains, penseurs, de toutes générations nous livrent leurs analyses. Les liens qui unissent nos deux pays ne cessent de produire des créations originales et uniques.
Ce numéro d'Area revue s'inscrit dans la dynamique des célébrations du cinquantenaire des relations diplomatiques entre la France et la Chine. Il dressera à travers 80 interviews, un historique des échanges franco-chinois, un panorama de la jeune scène artistique chinoise à Paris, et un bilan du bouillonnement culturel des célébrations du cinquantenaire.
-
-
-
-
-
-