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Lise Beninca
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Un garage qui décoiffe !
Lise Beninca, Clémence Lallemand
- Gallimard Jeunesse Giboulées
- Hors Série Giboulées
- 20 Février 2025
- 9782075204798
Albert le garagiste a toujours été passionné par son métier. Mais il ignorait qu'il avait d'autres talents cachés ! Un jour, en voulant vérifier la pression des pneus, il glisse et relooke par mégarde son meilleur client. Albert se découvre alors un penchant pour la coiffure... Comment va-t-il concilier ses deux passions ?
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L'incroyable ramsieste et autres dingueries d'Égypte
Lise Beninca, Clémence Lallemand
- Helium
- 4 Septembre 2024
- 9782330193317
Raoul Bonnepioche, son diplôme d'archéologie en poche, est envoyé par la Société Scientifique Excentrique en Égypte, dans la Vallée des Rois... Grâce à l'ingénieux serpent Salsifis, il découvre le tombeau d'un grand pharaon : Ramsieste ! Celui-ci repose avec d'autres célébrités de l'époque : Toutankarton et Toutanpéku...
Un album irrésistiblement drôle, truffé de jeux de mots rigolos, par le duo de l'incontournable "Dipoilocus" - Lise Beninca et Clémence Lallemand - dont les deux albums se sont vendus à plus de 22 000 exemplaires ! -
Dipoilocus et autres dinosaures meconnus
Lise Beninca, Clémence Lallemand
- Helium
- 13 Avril 2022
- 9782330162801
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Les oiseaux de paradis
Lise Beninca
- Joelle Losfeld
- Litterature Francaise Joelle Losfeld
- 25 Août 2011
- 9782070787920
En voyage professionnel au Brésil, Samuel meurt subitement dans le taxi qui le conduit à l'aéroport où il devait prendre l'avion pour Paris et retrouver sa compagne. A travers le récit de cette dernière, le lecteur est confronté à la poignante épreuve de la perte d'un être cher, depuis le coup de téléphone fortuit qui fait basculer la vie, jusqu'à la lente reconstruction de soi pour redevenir " le plus vivante possible". Ainsi prostrée dans la douleur, comme absente d'elle-même, la narratrice tente, sans démonstration excessive, mais comme une dernière tentative pour cerner l'inacceptable, d'approcher le corps dans sa composition anatomique et organique. Dans une langue d'une bouleversante sobriété, Lise Benincà raconte le retour à l'existence et au sentiment rassurant de faire partie d'un mouvement où les oiseaux partent en hiver et reviennent toujours au printemps.
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Des objets de rencontre ; une saison chez Emmaüs
Lise Beninca
- Joelle Losfeld
- Litterature Francaise Joelle Losfeld
- 21 Août 2014
- 9782072532139
Lise Benincà a passé plusieurs mois au sein d'Emmaüs Défi, rue Riquet à Paris. Elle a eu l'envie de donner voix à ces objets patinés, dépareillés, parfois ébréchés mais toujours singuliers, qui sont passés de main en main avant d'arriver chez Emmaüs, cette association, créée par l'abbé Pierre, qui les revend à des prix modiques.
Puis la présence des hommes et des femmes, salariés en réinsertion professionnelle chez Emmaüs, aux parcours chaotiques, eux-mêmes en transit, eux-mêmes patinés par la vie, s'est imposée entre les lignes qu'elle écrivait autour des objets - fragiles échos des existences passées et inconnues. Alors elle s'est mise à parler d'eux, aussi. De leurs trajectoires, de leurs espoirs, de leur détresse et de leur volonté. Ils sont ainsi devenus les personnages émouvants d'un récit qui s'est composé de lui-même. Un récit qui retrace, à travers le prisme des choses, l'ambiance et la dynamique émanant de ce lieu étonnant, le métier de ceux que l'on appelle les « travailleurs sociaux », ainsi que la multitude des situations qui peuvent conduire à la rue.
Ce texte en est la trace, à la fois spontanée, humaine et littéraire. C'est au pouvoir des mots et de la mémoire que l'auteur réfléchit, citant Perec et Giono, et plus généralement à celui des livres, « prêts à tout pour aider le monde à tenir debout ».
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à la lisière de la nuit : petites excursions en pays d'insomnie
Lise Beninca, Marie-reine Portailler
- Editions Des Veliplanchistes
- Entrelacement
- 1 Juin 2022
- 9782492550034
Le texte de Lise Benincà est tout autant une oeuvre de fiction qu'un essai littéraire, dans lequel on suit les déambulations nocturnes d'une narratrice qui ne parvient pas à trouver le sommeil. Au fil des pages, de nombreux auteurs, autrices et artistes sont évoqué·es, dans leur rapport à la nuit, à l'espace de la chambre ou à la quête des rêves.On croise ainsi le petit Marcel d'À la recherche du temps perdu, les tableaux d'Edward Hopper et les expériences filmées d'Andy Warhol, L'Hommequi dort de Perec, Stevenson couchant à la belle étoile au coeur des Cévennes, ou l'étrange ambiance des nouvelles de Nerval et Maupassant. Entre autres.À travers les réflexions de la narratrice sur son impuissance à s'endormir et les marches nocturnes dans lesquelles elle entraîne les lecteurs et lectrices pour chercher une échappatoire, c'est un parcours littéraire qui se dessine, accueillant les lectures comme autant de jalons au milieu de la nuit, et invitant à (re)découvrir quelques oeuvres littéraires et artistiques par le prisme de la nuit.Les illustrations de Marie-Reine Portailler, évocations sensibles d'un même univers, entrent en parfaite résonance avec le texte.
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Au départ -dans la postface de son récit- l'auteur dit avoir loué toute une année un appartement dans lequel le propriétaire avait exigé de garder une pièce, fermée à clé. Se réactivent alors, dans la vie quotidienne, des pensées liées au mythe de Barbe Bleue, puis à un des textes les plus vertigineux de Georges Perec, dans Espèces d'espaces, à propos du lien entre pièce vide et littérature fantastique. Le reste est fiction : les espaces décrits par la narratrice superposent l'appartement (le couple), le bureau (les collègues, les machines) et une archéologie familiale (la soeur, le père) travaillée par ce mythe, avec cette maison de banlieue où le père a décidé d'établir la pièce réservée, secrète. Et une écriture étonnante, à la fois nappée de transparences, étonnamment rémanente, pour un récit à la fois tendu et bref, à la fois décryptant plus loin notre relation à l'espace privé dans la ville et les circulations d'aujourd'hui.